Événement
MOONSPELL + Insomnium @u Bikini
Et voila une autre date pour SPM
MOONSPELL + Insomnium
le 01/05/2013 au Bikini
Préventes disponibles !!!
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Report
Malgré la grosse affluence de concerts en ce moment sur Toulouse (qui fait mal au porte-monnaie !!), ce sont tout de même presque 400 metalheads qui se déplacent vers le Bikini pour assister à ce plateau prestigieux, leur dernier passage date d’avril 2009 avec Cradle Of Filth et Turisas. Les Finlandais d’Insomnium ouvrent les hostilités avec leur death mélodique propre, plutôt mid-tempo, mais d’une efficacité redoutable.
Pour ma part, ainsi que plusieurs metalleux, je suis venu surtout pour eux. Cependant, c’est devant un public certes très calme mais très attentif que nous assistons à leur prestation. C’est fort dommage d’autant plus que le groupe se donne à fond sur scène.
Pourtant, au vu de la set-list ultra carrée proposée, ils auraient mérité un poil d’ambiance en plus. A revoir rapidement.
30 minutes plus tard, Moonspell monte sur scène, avec, une fois de plus, un son parfait. Le décor, agrémenté de 2 toiles immenses dessinées par le chanteur de SepticFlesh, agrémente la beauté de la scène . Malheureusement, encore une fois c’est devant un public bien plat que les Portugais se produisent.
Il faut attendre Finisterra pour que l’audience se réveille enfin. S’en suit une série de tubes, la plupart issues du dernier album, mais principalement de Wolfheart et Irreligious, les 2 premiers méfaits de la bande.
Le point culminant de ce gig pourrait être Vampiria, dont les paroles sont reprises en chœur par l’assistance et aussi par la venue de Johanna, une danseuse bien connue du milieu. (Elle s’est déjà produit avec Orphaned Land ou bien Therion dernièrement…)
Fernando, s’exprimant souvent dans la langue de Molières, s’impose tel un gourou devant son peuple tellement celui-ci est charismatique.
Au bout de 2 heures de concert dont l’atmosphere est maintenant à son point le plus haut, les 3 derniers rappels et surtout un Fullmoon Madness endiablé, nous achève totalement. La messe est dite.
par Romain REAPER